L'histoire du développement de la vitrine du musée

Tout d'abord, un point important à retenir : un musée est un lieu de collecte, de conservation, de diffusion et d'exposition des témoignages de l'environnement humain. Les musées remplissent leurs fonctions grâce à l'exposition de leurs collections, ce qui requiert un espace et une protection adéquats. L'apparition des vitrines a permis de résoudre deux problèmes historiques majeurs : la sécurité et l'espace nécessaires à la présentation des œuvres. Elles sont ainsi devenues un élément central et essentiel de la mise en valeur des collections. Contrairement à la question de la poule et de l'œuf, la vitrine est un support de production lié au développement du musée. En d'autres termes, son évolution au fil du temps contribue à refléter l'évolution du musée.

Aujourd'hui, la vitrine en verre est devenue le principal mode d'exposition dans les musées et jouit d'une large reconnaissance auprès du public. Cependant, les limitations technologiques rendent difficile l'obtention d'une planéité et d'une transparence optimales pour le verre. En 2005, DG a été pionnière dans l'utilisation du verre « ultra blanc » de dernière génération pour les vitrines muséales, s'imposant instantanément comme la norme en la matière. Ce matériau a permis d'améliorer considérablement l'authenticité des collections grâce à une réduction significative des couleurs, enrichissant ainsi l'expérience des visiteurs.

La veille, le musée, soucieux de l'éclairage de ses salles d'exposition, a dû faire face au problème des reflets sur les vitres. DG a donc opté pour du verre antireflet pour ses vitrines, créant ainsi une vitrine moderne répondant aux exigences les plus élevées. À l'intérieur, ce verre garantit la sécurité des collections ; à l'extérieur, sa faible réflectivité rapproche le public des œuvres, améliorant ainsi son immersion et son expérience muséographique.